Il existe quelques fermes équestres plutôt en bordure de ville, où les chevaux ont l’air de se plaire.
Mais il y a aussi de nombreux chevaux sur les routes de la ville, qui tirent des charrettes généralement chargées de gros fus ou de toute sorte de gravas, cartons, poubelles… Leurs maîtres, je pense, vivent de récupération notamment dans les poubelles des quartiers de bord de mer. Ces chevaux sont de petite taille, plutôt fins, très dociles, leur vie semble bien dure. Avec la différence de vitesse entre ces charrette et les voitures sur les routes, j’imagine que les accidents ne sont pas rares. Je n’en ai toutefois pas vu en plus de 3 mois à João Pessoa.
Je n’ose pas imaginer les traitements que certains de ces chevaux subissent. J’espère me tromper, mais mon cœur se serre à leur vue.
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